Ce n'est pas la chute qui compte, c'est l’atterrissage - Dylan
Jeu 13 Juin - 16:58
Sae Cruz
Jake Hold
771
12/06/2019
victime de cupidon
identité
—Nom Prénom : Dylan Caldwell —Âge :twenty-two —Origines : américaine —Métierenchaîner les petits boulots pour survivre à la vie. —Situation financière :Peiner a finir les mois —Statut Civil: célibataire qui se complet dans sa solitude —Orientation:hétérosexuelle —Passé, présent, futur, alternatif ? :présent
Informations complémentaires sur votre personnage.
DYLAN CALDWELL
PUISQUE L'OMBRE GAGNE, PUISQU'IL N'EST PAS DE MONTAGNE, AU-DELÀ DES VENTS PLUS HAUTE QUE LES MARCHES DE L'OUBLI.
TRAITS DE CARACTÉRES
Âme brisée, torturée, écorchée un peu trop farouchement par la vie, un peu trop chahutée par le temps. Cassée en milliards de morceaux éparpillés aux quatre vents par des bourrasques trop violente, par une existence trop brutale. Flamme a peine frémissante qui peine à ne pas s’étouffer quand tout se chamboule. Un peu farouche, trop compliquée à dompter, celle qui avant s’est laissé trop de fois avoir par les jolis mots, les jolies intentions. Elle a fermé son cœur pour ne plus jamais le laisser être meurtrie. Celle a qui on a volé un peu d’âme, un peu d’elle-même. Celle a qui on a brûlé les ailes.
Mer calme que rien n’agite, que la méfiance préfère garder sereine. Animal blessé qui ne cherche pas de réconfort, qui attend patiemment que le temps calme cette douleur, qu’il répare ce qui a été brisé, ce qui a été mutilé. Douleur comme un fardeaux qui pèse sur ces épaules comme un poids sans cesse alourdies par les peines.
Est-ce que tu penserais que ça t’arriverait à toi ? non. Est-ce que tu pensais que ce genre de choses existait vraiment ? non. Tu croyais que ces histoires étaient des de pays comme le Mexique, l’Afrique ou la Thaïlande, tu connaissais ces histoires ; Ces histoires de filles trop jeunes vendues comme un simple morceau de chaire. Tu ne pensais pas qu’aux Etats-Unis de telles histoires pouvaient arriver. Tu ne savais pas que ce genre de pratiques pouvaient exister impunément sous les fenêtres des gens et que personne ne le remarquait. Tu aurais aimé le savoir… savoir que ce genre de choses pouvait arriver à n’importe qui. Pouvait t’arriver à toi.
Malgré la salle réputation d’Oakland, tu ne t’y es jamais sentie mal ; jamais en danger. Cette ville t’a vu grandir, a arpenter ses pavés de tes chaussures de môme à user tes godasses d’ado. Oakland et son taux de criminalité, ses mauvais quartiers et ses trafics. Tu n’as jamais cru qu’un jour tout cela pourrait te rattraper ; pas toi. Pas toi et ta vie paisible, ta famille sortie d’un feuilleton de télé, pas vous. Non, ce genre de choses n’arrive pas aux familles comme les votre, ce genre de choses n’arrive pas aux filles comme toi. Pas ces filles qui ont de bonnes notes, une discipline exemplaire, la vie pour elle, l’avenir devant elle. Ça n’arrive pas aux filles comme toi. Aux filles que tu étais et pourtant.
Tu es tombée amoureuse, un peu bêtement, un peu rapidement, un peu trop simplement. Ça commençait comme un film romantique, comme une histoire toute simple qu’on peut voir dans les séries d’adolescentes. Ça a commencé par une fête, organisé par l’une de tes amies. Une soirée normale, d’un samedi soir banale dans la vie d’une jeune femme de 16 ans. C’était aussi simple que ça. Dès votre premier regard il y a eu quelque chose ; une étincelle étrange entre vous. Ce petit truc en plus qui vous a lié presque immédiatement. C’est comme ça que tout à débuter, par cette conversation un peu innocente qui s’est prolongée jusqu’à la fin de la nuit, parce ces sms que vous vous êtes échangés toute la nuit qui a suivi. Par vos rires qui se mêlaient comme une musique qui aurait du toujours exister. Tu ne nieras pas, que les premiers temps étaient beaux, que votre histoire était belle. Tu pensais que ça pourrait durer des années, tu pensais avoir peut-être trouvé la personne qu’il te fallait. Gavin était gentil, tu as peut-être été bernée par ça… sa gentillesse. Ou peut-être simplement l’euphorie d’une première histoire. Tout ça a troublé ton jugement, tout ça a biaisé ta vision. Troublée par l’envie d’aimer et celle d’être aimée en retour tu n’as rien vu. Tu n’as pas vu à quel point Gavin n’était pas le prince charmant que tu t’étais imaginé. Tu l’as réalisé trop tard… beaucoup trop tard.
Tu n’as pas compris, tu n’as pas compris pourquoi ça t’es tombé dessus comme ça, tu n’as pas compris pourquoi il a décidé de faire ça. Pourquoi toi. Pourquoi comme ça. Tu n’as pas compris pourquoi il a décidé de briser tout ce que tu lui avais donné de toi… pourquoi toi.
partie contenant des scènes sensibles:
Et le mouvement brutal des coups entre tes reins brise un peu plus de toi à chaque fois, arrache un peu plus de ton cœur à chaque fois. Eparpille, à chaque rythme saccadé un peu de ton âme. Et le long de tes joues coulent des larmes qui tachent un peu plus les draps quand il te brise entre ses mains. et tu fermes les yeux, un peu plus fort, toujours plus fort pour ne pas sentir à quel point tu as mal, à quel point dans ta poitrine se déchire ton cœur. A quel point, aveuglement tu as pu être amoureuse. Et tu voudrais crier, tu voudrais demander qu’on t’aide, mais engourdie par la drogue tu ne ressens même plus la force de te débattre, juste son corps, lourd sur le tiens et tes prières silencieuses pour que cela s’arrête vite. Vite. Qu’il te tue, ou qu’il t’étouffe, qu’il en finisse avec toi pour que tu ne ressentes plus rien. Pour que dans l’obscurité s’évanouisse cette douleur, cette honte. Et il sert un peu plus fort tes poignets, se déchainant sur ta chair et tu fermes les yeux toujours plus fort en espérant sombrer pour ne plus subir ça. Et pourtant, pourtant tu es vivante, bien vivante. Etendue sur ce lit à recevoir toute sa haine. Et tu pleures en silence quand il pose ta main sur ta bouche pour ne plus t’entendre supplier qu’il arrête. Tu voudrais que ce cauchemar cesse, tu voudrais… qu’il s’arrête, qu’il regrette. Hurler, tu aimerais tant. Hurler pour un sauveur, hurler pour une délivrance… mais personne ne vient, même pas ton propre corps qui subit ces assauts. Tu finis par accrocher tes doigts aux tissus du lit, tu finis par t’accrocher à cette couette comme a ta propre vie, attendant le moment où il se lassera de toi.
Il a continué, jusqu’à tout user en toi, jusqu’à tout dévaster, jusqu’à tout briser. Il n’a rien laissé, juste le vide de ton corps. Juste un vide dans ton esprit. Il t’a façonné, poupée, sans âme, sans esprit. Juste un corps, de tissus et de chaire a manipuler comme un jouet. Ça a duré plusieurs jours… plusieurs jours qui ont imprégné ta peau de cette culpabilité, de cette honte de n’être plus rien d’autre qu’un objet. Et comme un objet il t’a vendu. Vendu comme on se débarrasserai d’un encombrant, d’un meuble un peu trop abimé, d’une veste un peu trop usée. Vendue pour rembourser ses dettes de jeux. Vendue pour passer dans les mains d’inconnus.
Il t’a vendu au plus offrant, sans se soucier de ce qu’il pourrait te faire. Il s’en fichait. Tu n’étais plus rien. Qu’un objet un peu usé. Il t’avait brisé pour te rendre plus docile. Tu ne pensais pas trouver pire bourreau que Gavin. Pourtant ce fut le cas. Tu ne pensais pas qu’on puisse te faire encore plus de mal. Pourtant ce fut le cas. Tu ne pensais pas, que tu pouvais perdre encore plus, que tu pouvais être encore moins que ce que tu ne te sentais déjà. Lui aussi a abusé de toi. Jusqu’à détruire tout espoir dans ton âme, jusqu’à faire taire toute envie de fuite, toute envie de rébellion, toute envie de t’échapper de cet enfer auquel on te destinait. Et t’as courus, aussi vite que tes jambes pouvaient te porter, et t’as courus, aussi vite que ton souffle te le permettait. Courir car ta vie en dépendait t’as courus, aussi vite que tu le pouvais. Quitte a user tes jambes, user tes pieds nus sur le pavé. Couru a en perdre haleine pour échapper à l’enfer, sans vouloir te retourner. Courir jusqu’à trouver un endroit qui avait un téléphone et sa voix à l’autre bout du téléphone avec un an de calvaire t’as soulagé. « maman ? ». Tu as entendu ses pleurs a travers le combiné et tu te souviens t’être mise à pleuré aussi. Pleuré si fort que tu peinais à donner ta situation, dire où tu étais.
Re: Ce n'est pas la chute qui compte, c'est l’atterrissage - Dylan
Dim 16 Juin - 17:22
Invité
Invité
Tu es validé !
// Bienvenue chez toi
Encore un perso qui me brise le coeur tellement son histoire est triste... Donne lui un peu de bonheur ok ? Te voilà donc validé.e ! Tu peux dès à présent aller t'amuser avec tous les autres membres et partir à l'aventure ! N'oublie pas d'aller vérifier dans le bottin qu'on ne t'as pas oublié.e (Et si c'est le cas, pas de panique, n'hésite pas à nous le signaler sur le sujet, on viendra arranger tout ça !), si t'as pas encore trouvé l'âme soeur, ton meilleur copain ou même ton huître de compagnie (on est personne pour juger), tu peux poster un petit pré-lien pour réclamer ce qui te revient de droit ! Si tu as trouvé l'amour et ton huître, tu peux aussi venir nous demander un espace ship, pour qu'on puisse te le créer et que tu puisses venir t'amuser dans ton petit chez toi ! Si ce n'est pas déjà fait, ne sois pas timide et rejoins-nous vite sur le discorddu forum.