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Lift me up ;Lukas
Jeu 13 Juin - 16:59
Lukas Elbaz
Lukas Elbaz
Diego Barueco //vocivus
445
18/02/2019
victime de cupidon

identité

Nom Prénom : Lukas Elbaz
Âge :20 yo
Origines :Mexicain
MétierÉtudiant en histoire
Situation financière :Correcte, sans plus. T'habites dans la maison de tes parents en plein centre ville, seul.
Statut Civil:Célibataire
Orientation:homosexuel
Passé, présent, futur, alternatif ? :Futur

Situation

PSEUDO : P a n i c
AVATAR : Diego Barrueco
GROUPE : In progress
SCÉNARIO : Non !
AUTRES COMPTES : Ati Diaz, Mia Diaz, Arthur Diaz, Leo Diaz, Sam Diaz, Uriel Diaz, Saevus Castelli, Baby Turner, Teo Calvi, Koda Lupesco , Céleste Reed , Aël Chapiro, Charlie White, Zoe White, Star King, Diego Ramirez , Nox Atkins, Matys Stones , Mat Connor , Flynn Payne, Marisol Lopez, Markus Cruz , Rym Sykes.

autres

Informations complémentaires sur votre personnage.

Lukas Elbaz

See, this weight is on my shoulders, lift me up
And my pain is never over, pills and potions fix me up
I just want to live it up, can a motherfucker breathe? — Vince Staples

TRAITS DE CARACTÉRES

  • Instable
  • Perdu
  • Drogué
  • Discret
  • Abimé
  • Fêtard
  • Désillusionné
  • Pensif
  • Curieux
  • Étrange
  • Tendre
  • Arrangeant
  • Histoire

    Alors voilà, voilà . Un mot sur la table. Une cigarette entre les lèvres. La pression assourdissante du silence qui est revenu dans la maison. Ta solitude de nouveau, ritournelle qui revient, encore et encore , qui t'abandonne jamais vraiment, finalement. C'est toujours toi et la solitude. Toujours toi face à toi face à toi face à toi. Miroir brisé et million de reflet de toi-même qui t'observe t'observer. Boucle sans fin du vide que constitue ta vie. C'est si triste qu'on t'impose à ce point d'être autocentré. Elle te rappellera pas, tu le sais. Soledad part comme elle est revenue dans ta vie. C'est toujours chaotique. Alors voilà, deux semaines  à réintégré gentiment ton monde, à te couper des autres pour elle évidemment, on t'as pas vu à la fac, on t'as vu nulle part. Où est passé Lukas ? Celui qui pourtant aire dans les soirées à la recherche d'une compagnie fugace, t'as multiplié les ersatz de relations pour faire semblant que dans ta vie, tout allait bien tout était beau. C'est un peu toi, sans doute. Le plus grand des menteur, celui qui a le sourire doux, celui qui a le sourire enjôleur. Tu charmes ton petit monde quand tu le contemples comme s'il t'appartenait un peu. Tu te remplis de faux semblant et de belles étiquettes. T'es bien sous tout rapport, faudrait peut-être songer à te casé, te trouver quelqu'un de bien. C'est un peu l'effet que tu fais en tout cas.  Mais t'as personne, t'es qu'un emballage vide. Et tu sais pas , tu sais plus vraiment où t'en es. Ta propre sœur n'a pas prit la peine de te dire au revoir. Un post-it collé sur le bois brut de la table, ni remerciement , ni pardon.  Rien que quelques mots griffonnés à la va vite pendant un moment où t'as eut le malheur de dormir.  T'aurais rien pu faire de toute façon. C'est pas comme si elle voulait rester. Pas comme si elle voulait te conservé dans sa vie. Elle voulait juste que tu sois là, pour la regarder chuter un peu plus bas encore. Peut-être bien que par cruauté, elle t'as appelé pour que tu la regardes. Pour que tu l'observes avoir mal. Peut-être que ça plait aux gens, de te voir frémir quand toi t'as seulement l'habitude de sourire. 

    Elle est passée où ta famille , putain ?  Soledad Juanita Elbaz sœur de Lukas Enrique Elbaz enfants de Pablo Augustino Elbaz et de Feliz Ernestina Elbaz, tous ces noms qui veulent plus rien dire maintenant. Tu sais même pas où ils sont, tes putains de parents. Tu sais même pas ce que fais ta sœur au quotidien. Mise à part se cacher. Et ça te fait oublier un peu qui tu es , aussi. T'as l'impression de te perdre. L'impression de plus vraiment être toi même quand c'est vide, quand c'est sombre, quand y'a rien d'autre que du noir, du noir et encore du noir. Elle est partie, elle t'as laissé sans vraiment se soucier du fait que toi, t'aurais aimer qu'elle reste parce que t'es malheureux. T'as l'impression, Lukas, que plus personne se crève pour toi.  T'es tellement présent. Ils sont tellement absent. Même pas un mot, rien du tout.  Et maintenant, tu cherches à retrouver ta fierté et tes habitudes. Tu te promet que ça va aller. Que tu seras pas malheureux. 

    Alors voilà, voilà, contemple ton monde tout vide, ton univers immensément creux.  On a forcé ton exil, pauvre Lukas, séquestré dans cette maison qui t'as vu grandir qui a perdu son âme maintenant , qui pleure tout le temps, entre les murs, d'une claustration sans pareil.  Et puis tu sais pas. La maison de ton grand-père te rends triste, maintenant. C'est les restes d'un passé étrangement proche. L'odeur même de la maison te rappelle à ton enfance. Tu y as trop de souvenirs. L'époque où tes parents étaient encore avec toi, te paraît presque sortir d'un rêve. Tu dors peu , lorsque tu y es seul. T'as parfois l'impression d'entendre la maison craquer sous le poids du malheur qu'elle a abrité. Trop de pleurs et puis trop de gens qui ont abandonner les lieux.  Tes grands parents d'abord et ensuite ta sœur, ta mère et ton père et en dernier. Est-ce qu'elle est aussi triste que toi , cette maison ? Est-ce qu'elle se sent seule, aussi brisé que tu l'es quand l'agitation qui y règne d'habitude se ternit puis s'envole ?  Tu supportes plus les photos, tu supportes plus les souvenirs. T'as entasser les choses qui t'appartenaient pas dans une seule et même pièce, t'as condamné des chambres, t'as retirer les photos. Peut-être bien que tu la blesses, la maison, en supprimant les traces de votre vie passée ? Peut-être que c'est toi qui la fait souffrir, pauvre vieille baraque ébranlée par les morts et les disparitions. Peut-être que c'est ta solitude qui craque entre les murs. Peut-être que ce sont tes larmes, qui ont abimées la tapisserie. Peut-être que c'est toi qui en a fait ce lieu si étrange, à l'ambiance si lourde. Thébaïde, loin de tout les autres. Te voilà à espérer qu'on t'y rejoigne. Tu sais pas. Le vide appelle peut-être trop le vide. La solitude appelle peut-être trop la solitude.   Ou c'est peut-être toi, c'est peut-être toi et ton fossé, celui que t'as creusé à force de te crevé pour les autres à force de plus avoir la force de les retenir. Peut-être qu'au fond, c'est toi et toi. 
    Ça a toujours été toi et toi. 

    Y'a quelques années encore, t'étais heureux de dire que t'étais toujours fidèle à toi-même et contrairement à beaucoup d'autres, t'as pas eut de problèmes à faire ton coming-out. Tu ne l'as même pas fait en vérité. Tu t'es mis à parler de Lev comme d'une évidence, comme si tout était normal parce qu’après tout, t'as toujours cru que ça le serait.  Et regardes-toi, aujourd'hui. Toi, qui serres les poings pour pas te mettre à chialer, toi qui hurle au désespoir. Tu sais même plus quand est-ce que t'as passer une soirée sobre, une soirée seul, aussi.  Tu supportes plus d'être en pilote automatique, de te voir bouger, agir, rire et puis t'amuser sans jamais plus y mettre le cœur. C'est devenu trop dur à porter de te voir comme ça. Devenir aigris, jaloux un peu du bonheur de ceux qui t'entoure. Tu t'en veux, tu t'en veux. Tu aimes pas en vouloir à ta sœur d'avoir trouver l'amour. T'aimes pas en vouloir au monde de t'oublier. Mais t'y peux rien. T'es malheureux.. Tu peux pas faire semblant de pas voir que tout ça c'est ta sexualité. Que si tes parents ont décider d'fuir la maison, c'est juste parce qu'ils arrivent plus vraiment à te regarder droit dans les yeux sans avoir un peu l'air perdu, et dégoûté. Tu sais que t'es un peu une déception pour eux. Tu pourrais bien faire les plus grandes études, les plus belles choses, ce sera pas assez pour leurs faire oublier que t'aimes pas le bon sexe. T'y penses très souvent, tu te demandes très souvent s'ils seraient tous encore là ,à vivre ici, à Chicago avec toi. Si ton père avait précipiter sa mutation si tu avais été hétéro. On t'a jamais rejeter de front. On t'as jamais regarder droit dans les yeux en te disant que c'était ça le véritable soucis avec toi. T'as jamais été vraiment dénigré, mais t'as vu dans les yeux de tes parents quelque chose vraiment changer. Ils sont simplement trop mal à l'aise pour l'exprimé et un peu trop éduqués pour assumer leurs homophobie latente.  Ça ferait mal de l'avouer.
    T'es pas courageux mais , assez bête pour arriver à te culpabiliser de tout. Assez utopiste pour rêver d'un monde où on pourra plus jamais être seul à ce point. Où t'apprendrais dans quel sens tourne la terre. Où tu ferais pas tout dans le désordre. 
    Re: Lift me up ;Lukas
    Dim 16 Juin - 15:10
    Invité
    avatar
    Invité

    Tu es validé !

    // Bienvenue chez toi

    Encore un personnage tout plein de mystères et hyper intéressant, j'ai hâte de lire la suite de ses aventures Lift me up ;Lukas  2406286342
    Te voilà donc validé.e ! Tu peux dès à présent aller t'amuser avec tous les autres membres et partir à l'aventure ! N'oublie pas d'aller vérifier dans le bottin qu'on ne t'as pas oublié.e (Et si c'est le cas, pas de panique, n'hésite pas à nous le signaler sur le sujet, on viendra arranger tout ça !), si t'as pas encore trouvé l'âme soeur, ton meilleur copain ou même ton huître de compagnie (on est personne pour juger), tu peux poster un petit pré-lien pour réclamer ce qui te revient de droit !
    Si tu as trouvé l'amour et ton huître, tu peux aussi venir nous demander un espace ship, pour qu'on puisse te le créer et que tu puisses venir t'amuser dans ton petit chez toi !
    Si ce n'est pas déjà fait, ne sois pas timide et rejoins-nous vite sur le discord du forum.

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