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Pierre précieuse ; Opale
Dim 16 Juin - 21:51
Opale Delcroix
Opale Delcroix
Cora sexy Keegan ©Plum
34
17/02/2019
Muse

identité

Nom Prénom : Opale Delcroix
Âge :26 ans
Origines : Française et Anglaises
Métier Danseuse de cabaret, propriétaire de son propre cabaret.
Situation financière :Aisée
Statut Civil: Célibataire.
Orientation:Hétérosexuelle
Passé, présent, futur, alternatif ? :Présent

Situation

PSEUDO : plum.
AVATAR : Cora Keegan
GROUPE : In love
SCÉNARIO : Oui Pierre précieuse ; Opale  78223057 Coucou @Flynn Payne
AUTRES COMPTES : Haha oui. Pierre précieuse ; Opale  470366821

autres

Informations complémentaires sur votre personnage.

OPALE DELCROIX

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. — Larmartine .

TRAITS DE CARACTÉRES

Elle est calme Opale, comme la brise, comme la mer quand les lumières s'éteignent. Taciturne, discrète, beaucoup moins lumineuse dans la pénombre. Sur la scène elle est toute autre, gracieuse, mystérieuse, lumineuse. Elle vit pour la danse, pour l'art. C'est une artiste, une rêveuse une passionnée. Dans l'intimité elle est blessée, intelligente, drôle. même si elle ne parle pas beaucoup. voir pas. Elle s'enveloppe de mystère, de non dit, elle a un coeur en miette, une vie un peu brisée, un peu saccadée. Elle porte du chagrin sur ses épaule mais elle ne le montre jamais. Elle se veut forte, indépendante. Elle croit en l'amour, peut être pas au grand mais du moins à la passion. Celle qui dure une nuit, un mois ou un vie. Elle a parfois l'air absente, partie ailleurs, dans d'autres réflexions. Elle ne dit rien, elle est secrète, parfois même l'air hautaine avec sa façon de ne rien dire, de rester là à vous fixer sans laisser échapper un son. C'est une observatrice, une guetteuse. Elle aime observer les gens, le langage de leurs corps. Elle n'a pas besoin de leurs mots.  

Histoire

Chapitre I : blanc
Ça commence toujours comme ça : par une histoire d'amour. Entre une anglaise et un Français, sur les bords de la Seine ça fait clicher mais c'est la vérité. C'était un amour fulgurant, une passion qui par la suite s'avérera vitale. Un homme, une femme. Un enfant. Née le 5 mai 1992 à Paris. Opale comme une pierre précieuse. Delcroix parce qu'on ne fait pas plus français comme nom. C'est comme ça que l'histoire commence. Les premières années elle ne va pas s'en plaindre. À vrai dire elle ne s'en rappelle même pas. C'est peut être la preuve qu'ils étaient heureux. Elle se rappelle l'appartement minuscule. Des notes de piano qui raisonnait quand son père jouait, des éclats de rire de sa mère pour un rien, des sourires qui illuminait son visage quand il rentrait le soir avec un pissenlit cueillit « juste pour elle ». Ce n'était pas n'importe quel pissenlit. C'était le plus beau. Cueillit juste pour elle. Opale suppose qu'ils étaient heureux. Elle ne se souvient pas avoir manqué de quoi que ce soit. Ils n'avaient pas beaucoup d'argent, ils n'en on jamais vraiment eut mais à 4 ans on s'en fou bien, son plat préféré c'était les raviolis en boite. Avec beaucoup de gruyère s'il vous plaît. Jusque-là ils étaient heureux. Les pissenlits, les raviolis, les accords de guitare.
Oui c'était bien le bonheur en fait, les balades en bord de Seine et les matins sous la couette dans le lit parental. Elle se souvient n'avoir jamais été aussi heureuse qu'à cette époque-là Elle avait quatre ans.it quatre ans.

Son père s'était ce héro, cet homme un peu grand tassé par la dureté de la vie cependant. Il était toujours souriant, toujours marrant. Il rigolait pour un rien, offrait des cadeaux futiles trouvés sur le chemin qui le ramenait à la maison le soir. C'était un pissenlit, une marguerite, un caillou en forme de cœur ou parfois un bonbon acheté à la boulangerie. Il partait tôt, il rentrait tard mais elle n'a jamais souffert de son absence.
Sa mère c'était ce mélange de douceur et de dureté. Aussi tendre que stricte. Elle ne parlait pas bien le français malgré ses quelques années déjà sur place. À y repenser elle n'a jamais fait l'effort de vouloir apprendre. Elle était restée car elle était tombée amoureuse de ce grand brun qui lui offrait des babioles qui ne coûtaient rien. Elle parlait anglais tout le temps, elle chantait aussi tout le temps. Des comptines de son enfance. Parfois elle prenait cet air nostalgique quand elle parlait de son enfance et de la terre de l'autre côté de la méditerranée qui lui manquait tant. Elle était douce, bienveillante et avait cette odeur de cuisine et de linge propre.


Chapitre II : bleu

Ils ont fermés leurs valises un peu comme ça sur un coup de tête. Rendu les clés de l'appartement et vendu les meubles. Ils ont consigné leur vie dans trois valises et trois sacs à dos. Opale à huit ans. Elle a grandi et d'après son père avec ses cheveux blonds et son air malicieux elle ressemble de plus en plus à sa mère. Quand elle se met en colère elle fronce le nez comme cette dernière et lance un regard plein d'éclairs. Ils ont pris leurs valises, leurs sacs a dos et leurs espoirs. Ils les ont fourrés dans la soute d'un avion direction Chicago, toutes les économies passées dans trois allés simple vers une nouvelle vie. Ses parents n'ont jamais été attachés aux choses de la vie. Un appartement, une ville, ça se change comme le linge de lit. Ça a toujours été comme une évidence dans leur esprit, ils ne passeraient pas toute leur vie au même endroit. Pourquoi Chicago ? Parce que pourquoi pas.
Canaryville... Elle avait détesté l'endroit au premier regard. C'était gris, un peu sale, délabré par endroit. Les gens les regardaient bizarrement comme une erreur dans le décor de leur quotidien. La propriétaire était une femme aussi haute que large avec une sorte de chien. Vraiment trop laid pour dire si c'était réellement un chien. Elle parlait anglais avec une sorte d'accent propre aux américains sans doute et le son rocailleux de sa voix n'avait pas plus à Opale. Elle lui faisait un peu peur d'ailleurs et longtemps elle l'avait prise pour une sorcière. La maison était plus grande que l'appartement de Paris mais elle sentait aussi beaucoup plus mauvais. Non elle n'aimait pas cet endroit et elle avait même demandé quand est-ce qu'ils rentraient chez eux. C'était chez eux maintenant. Ça avait été ça la réponse. Chez eux cet endroit étrange gardé par une dame obèse et son chien immonde.

Elle avait mis du temps à s'y faire mais elle avait fini par trouver ses marques. Elle s'était faite amie avec la fille des voisins – qui au passage pensait aussi que la propriétaire était une sorcière et avait intégré une école voisine. Son accent mi-français / mi-anglais faisait rire beaucoup. Après plusieurs mois Canaryville avait fini par devenir son nouveau chez elle. Papa jouait toujours de la guitare, il ramenait toujours des pissenlits le soir et maman cuisinait toujours des raviolis. Rien n'avait réellement changé.

Chapitre III : Noir
Le bonheur est-il vraiment qu'une illusion éphémère. C'était ce qu'elle c'était trouvé a pensé dans la salle d'attente des urgences. Elle a 16 ans. Elle avait regardé ses chaussures pendant ce qui lui avait paru des heures. Attends-moi là. C'était la seule phrase à laquelle elle avait eut le droit en arrivant. Sa mère avait roulé comme une folle jusqu'à l'hôpital après un appel du travail de son mari. Elle n'avait rien compris dans les mots qui s’échappait du téléphone. Elle se souvient juste de la silhouette de sa mère attrapant son sac et hurlant de monter dans la voiture. Elle n'avait pas pris le temps de réajuster sa coiffure dans le miroir de l'entrée comme elle le faisait à chaque fois qu'elle sortait. Rien n'était dans les habitudes de Mrs Delcroix. Elle avait été vulgaire au volant, mal coiffée, et avait roulé bien trop rapidement, Ce n'était pas bon signe. Ce n'était jamais bon signe quand quelqu'un d'aussi maniaque que sa mère abandonnait sa routine habituelle pour se précipiter vers les urgences.
Elle avait fini par revenir dans la salle d'attente après plusieurs heures peut-être. Sa peau était blême, presque translucide. On pouvait voir ses veines danser en dessous. Son visage était vide, sans expression. Comme si son âme avait quitté son corps. « Ton père a eut un accident au travail. »
On se demande encore comment aujourd'hui un homme peut tomber d'un échafaudage et aller s'effondrer part terre sans que personne ne juge que cela est dramatique. Elle n'avait pas pu le voir, après tout ça ne servait à rien, il était dans le coma. Tous les os brisés et une machine pour respirer. Il n'était plus vraiment vivant.
C'est là que ça a commencé. Les dettes dut aux frais médicaux. Ils ont vendu une grande partie de leurs affaires pour pouvoir payer et sa mère s'est mise à prendre deux emploies, elle qui n'avait jamais travaillé de sa vie. Secrétaire médicale la journée et caissière dans une supérette la nuit et le week-end. Mais cela n'avait pas suffi. Malgré les cernes sous ses yeux verts rien n'avait suffit. Les dettes avaient continué alors Opale avait du s'y mettre aussi. D'abord vendeuse à la supérette puis dans un magasin de vêtements, à la station service. Bref. Elle avait tout enchaîné. Pour essayer de sortir la tête de l'eau mais la nouvelle les avaient noyés. Il ne se réveillerait jamais. Elles ne reverraient jamais son sourire, n'entendrait plus jamais son rire. Il ne passerait plus le pas de la porte un pissenlit dans la main et une plume dans l'autre comme s'il ramenait des diamants. Plus d'accords de guitare. Tout ça été parti avec lui. Elle n'avait jamais vu sa mère pleurer avant ce jour. On aurait pu entendre son cœur se briser à des kilomètres. Elle n'avait pas vraiment pleuré. C'était plus un cri. Un cri de douleur qui sortait du plus profond de son âme. Il en emmené une partie avec lui.
Opale n'a pas versé une larme ce jour-là Elle avait pensé être insensible ce jour-là Elle avait juste trop de peine et elle ne savait pas quoi en faire. Pleurer n'aurait rien changé. Sa mère elle a pleuré pendant des jours et des nuits. Son chagrin déchirant un peu plus le cœur de l'adolescente. Elle a eut envie de lui crier de se taire mais elle ne pouvait pas faire ça. Elle l'avait donc laissé vivre son chagrin.


Chapitre IV : Gris
21 ans.. Voilà quatre ans qu'elle avait enterrée son père. Sa mère avait fais sa vie avec un homme pas déplaisant et avec de l'argent. Il s'était acquitté de leurs dettes et avait même proposé à Opale de venir vivre avec eux dans le centre de Chicago. Elle avait refusé. Elle préférait le cadre rassurant de Canaryville. Elles avaient rendu la maison et elle s'était installé dans une plus petite quelques rues plus loin. Surtout elle avait trouvé sa voie. Ça ne plaisait pas trop à sa mère, mais elle était loin dans son immeuble de marbre alors elle ne disait plus rien. Opale ne lui en a jamais voulu pour ça. Elle ne méritait pas de finir seule, triste et dans la pauvreté. Elle avait tout fait pour qu'elles soient heureuse, elle avait fait son deuil. Elle méritait le bonheur. Donc. Sa voie. Celle de la nuit, celle de la fête. Elle avait commencé serveuse dans un bar de nuit. Puis elle était devenue danseuse. Une sorte de défouloir, une sorte d’échappatoire. Elle ondulait le corps sur la piste, tel un serpent. Elle était perdue au milieu du bruit, au milieu des lumières. Elles rendaient tous les gens plus beaux. Ça l'avait libéré. Un nouveau souffle c'était là sa nouvelle vie sans chagrin. Elle aimait la liberté de la nuit, l'ivresse que procurait la nuit. Elle se sentait puissante, reine d'un royaume de quelques secondes. Elle se sentait forte.


Chapitre V : Rouge
Il vient tous les soirs. Il est tapi là dans l'ombre et elle ne l'avait jamais remarqué. Je fais quoi ? C'était la question du vigile. Rien. Il ne fait de mal à personne, il a juste les yeux perdus comme un gosse. Laisse-le donc. Il ne fait rien. Elle a quitté la boite de nuit, elle a ouvert son propre endroit qui lui ressemble. La lumière tamisée, les murs bordeaux sur lesquels vacillent les corps voluptueux des danseuses. C'est son endroit à elle. Elle n'a pas arrêté la danse, c'est le seul moment où elle se sent aussi vivante. Aussi existente. c'est son échapatoire, son moment de liberté. Elle se sent forte, puissante, femme.  Il vient tous les soirs, tapi dans l'ombre, elle ne l'avait jamais remarqué jusqu'à maintenant...
Re: Pierre précieuse ; Opale
Lun 17 Juin - 13:07
Uriel Diaz
Uriel Diaz
Laurence Coke
192
19/04/2019
victime de cupidon

Tu es validé !

// Bienvenue chez toi

Te voilà donc validé.e ! Tu peux dès à présent aller t'amuser avec tous les autres membres et partir à l'aventure ! N'oublie pas d'aller vérifier dans le bottin qu'on ne t'as pas oublié.e (Et si c'est le cas, pas de panique, n'hésite pas à nous le signaler sur le sujet, on viendra arranger tout ça !), si t'as pas encore trouvé l'âme soeur, ton meilleur copain ou même ton huître de compagnie (on est personne pour juger), tu peux poster un petit pré-lien pour réclamer ce qui te revient de droit !
Si tu as trouvé l'amour et ton huître, tu peux aussi venir nous demander un espace ship, pour qu'on puisse te le créer et que tu puisses venir t'amuser dans ton petit chez toi !
Si ce n'est pas déjà fait, ne sois pas timide et rejoins-nous vite sur le discord du forum.

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